ARES à pour objectif de répondre aux besoins des collectivités rencontrant des difficultés de remplacement ou ayant des besoins de main d’œuvre temporaire. ARES met à disposition ses 35 ans d’expertise et sa connaissance précise du tissu économique local.
Pourquoi sollicitez-vous les services d‘ARES ?
Nous sollicitons les services d’ARES pour pallier les absences de personnel sur des postes comme l’encadrement de cantine, le remplacement d’ATSEM, l’encadrement périscolaire et le nettoyage des écoles. L’objectif est de participer aux actions solidaires d’ARES qui permettent aux personnes accompagnées de trouver ou de retrouver un emploi.
« Le professionnalisme au cœur de nos ambitions », est une des valeurs d’ARES. En lui accordant leur confiance les collectivités contribuent à son rayonnement.
Que diriez-vous à un utilisateur qui hésiterait à faire appel à ARES ?
Je lui dirais qu’il n’a pas à hésiter pour plusieurs raisons. ARES c’est une facilité de mise en place, une grande réactivité qui nous a permis de palier très rapidement les absences de nos agents, une gestion administrative permettant aux services municipaux de se recentrer sur leurs autres missions.
Deux points fort d’ARES ?
Le premier serait l’humain, les collaborateurs d’ARES sont à notre écoute ce qui nous permet d’avoir une sérénité sur le suivi de mission, le second serait la réactivité car en moins de 24H ils ont pu répondre à nos besoins.
Avez-vous quelque chose à ajouter ?
Oui, l’intérêt d’un partenariat avec ARES c’est la possibilité d’orienter nos administrés en recherche d’emploi vers une structure en capacité de proposer un accompagnement personnalisé et professionnalisant.
L’objectif de l’association est de tout mettre en œuvre pour répondre aux besoins des collectivités, professionnels et particuliers. ARES professionnalise ses salariés afin de les mettre à disposition dans les meilleures conditions.
*ARES est une association intermédiaire. Elle agit dans le cadre de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) en favorisant le retour à l’emploi.
